Nouveaux indices médicaux depuis le 1er juillet

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A partir du 1er juillet 2016, les primes d’assurances maladie et hospitalisation pourront augmenter au regard des nouveaux indices médicaux. Ces indices seront calculés par le SPF Economie sur la base de l’augmentation des coûts des soins de santé. « Avec cet indice médical, le montant de votre prime d’assurance, mais aussi de la franchise et des prestations médicales couvertes, pourra augmenter. Le but de l’indice est de permettre que cette augmentation soit plus linéaire et moins brutale », d’après Chantal De Pauw, porte-parole du SPF Economie.

Calcul sur la base des coûts des soins de santé

Vous disposez d’une assurance maladie ou hospitalisation ? Le montant de votre prime, mais aussi de la franchise et/ou des prestations couvertes risque d’augmenter à sa prochaine échéance. Cette augmentation éventuelle résulte de la publication au Moniteur belge, ce 1er juillet 2016, des nouveaux indices médicaux. Ceux-ci sont calculés de manière à tenir compte de l’augmentation du coût des soins de santé : les entreprises d’assurances sont tenues de communiquer à la FSMA, ou à l’Office de contrôle des mutualités, et au SPF Economie, la charge brute des sinistres par garantie, c’est-à-dire le montant de la facture, déduction faite de l’intervention de l’INAMI. Le calcul et la publication des indices se fait une fois par an, en juillet.

Il existe 4 indices liés aux différents types de contrats d’assurance maladie, assortis de garanties différentes : la garantie « chambre particulière », la garantie « chambre double et commune », la garantie « soins ambulatoires » et la garantie « soins dentaires ». Les indices sont ventilés en fonction des catégories d’âges.

classe d’âge garantie
chambre particulière chambre double et commune soins ambulatoires soins dentaires
0-19 ans 102,23 100,15 100,00 100,00
20-34 ans 100,34 100,00 100,00 100,00
35-49 ans 106,08 100,00 100,00 100,00
50-64 ans 106,33 102,79 100,00 100,00
65 ans et plus 106,45 103,83 100,00 100,00
global* 104,32 100,37 100,00 100,00

*indice basé sur la valeur indépendante des classes d’âge

Une indexation pas systématique

Toutefois, une augmentation n’est pas systématique. En effet, elle ne concerne que les contrats d’assurance maladie non liés à l’activité professionnelle, autrement dit les contrats que vous avez personnellement souscrits pour vous et/ou les membres de votre famille (notez que les contrats d’assurance maladie dont vous bénéficiez par l’intermédiaire de votre employeur ne sont pas touchés par cette mesure).

Parmi ces contrats, seuls sont visés les contrats comportant une clause d’indexation. Si c’est le cas, à la prochaine échéance de votre contrat d’assurance, il est possible que l’assureur augmente la prime et/ou la franchise et/ou les prestations couvertes de celui-ci.

Pour ce faire, l’assureur doit avertir son client de sa méthode d’indexation et de ses modalités, en le mentionnant sur votre avis d’échéance.

Attention : le recours aux indices médicaux ne sera appliqué que dans l’hypothèse où ces indices sont supérieurs à l’évolution de l’indice des prix à la consommation.

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En voiture, sur la route des vacances…

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Préparez votre véhicule

  • Vérifiez les freins, la direction, la batterie, les essuie-glaces, …
  • Contrôlez les pneus (et la roue de secours) : état, usure, pression (une bonne pression des pneus est synonyme de sécurité). Un sous-gonflage de 0,5 bar représente une surconsommation de 2,4 % !
  • Vérifiez et nettoyez les phares et les feux.
  • Vérifiez et complétez, si nécessaire, les niveaux d’huile, de liquide de frein et de refroidissement, du lave-glace, …
  • Assurez-vous de la présence du matériel nécessaire au changement de la roue, de la trousse de secours, du triangle de signalisation, de l’extincteur, du gilet réfléchissant.
  • Prévoyez des lunettes de soleil, une lampe de poche, des boissons rafraîchissantes
    (de préférence de l’eau et bien entendu pas d’alcool), des occupations pour les enfants (livres, CD, jeux, …).
  • soyez attentif au chargement
  • Rangez de préférence vos bagages dans le coffre en veillant à répartir la charge et à placer les plus lourds dans le fond.
  • Ne disposez pas d’objets sur la plage arrière: ils réduisent la visibilité et deviennent un projectile en cas de choc.
  • Si vous utilisez un porte-bagages, un coffre de toit, un porte-vélos ou tractez une remorque, respectez les indications du constructeur et les règles en vigueur en matière de chargement (dépassement de la longueur du véhicule, signalisation, …).
  • Dans la mesure du possible, chargez votre véhicule la veille du départ.
  • Ne chargez pas trop votre véhicule : 100 kg de plus, c’est 5% de consommation en plus; préférez un coffre de toit au porte-bagages et n’oubliez pas de l’enlever après utilisation : même à vide, il occasionne une surconsommation de 10 à 20%.

Bonne route

La médecine belge est l’une des meilleurs du monde ! Nous la rendons accessible

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Bien que l’assurance maladie obligatoire (mutualité) paie une grande partie des soins de santé, elle ne couvre pas tous les frais importants.

Un certain nombre de  techniques de traitement agréées, d’outils médicaux, d’implants ou de médicaments ne donnent par exemple pas lieu à un remboursement de  la sécurité sociale.

La qualité des soins de santé en Belgique est bonne, mais elle a également un prix. Le coût des soins de santé ne cesse d’augmenter. Nous vivons également de plus en plus longtemps. Il en résulte que le montant total des dépenses en soins de santé va sans doute augmenter au cours des prochaines décennies.

Nous avons la solution d’assurance hospitalisation sur mesure qui répondra parfaitement à vos attentes, au meilleur prix !!!

Interrogez-nous !

Commentaire de marché

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Les bourses ont chuté, certaines de 30 % depuis leur plus haut niveau de début 2015.

 

Faut-il pour autant céder à la panique? Est-on à la veille de la fin d’une civilisation comme le prédisent certains gourous?  Certainement pas, gardons la tête froide et analysons plus en profondeur ce qu’il s’est passé.

 

Il faut bien avouer qu’il faut avoir le cœur bien accroché car les facteurs négatifs ne manquent pas :

 

  1. Les cours du pétrole se maintiennent sous les 30 dollars le baril;
  2. L’instabilité des banques inquiète;
  3. La réserve fédérale américaine entretient le doute quant au rythme des hausses de taux à venir;
  4. La croissance chinoise est en panne;
  5. Les cours des ressources de base dépriment;
  6. Et l’inflation s’obstine à rester basse dans les économies développées.

 

 

Pas étonnant qu’avec un tel cocktail, les marchés soient extrêmement volatils.  Dernièrement, l’Euro Stoxx 50 évoluait de -3% un jour à + 2% le lendemain pour terminer à   -3,5% le surlendemain.

Néanmoins, tous ces facteurs doivent être remis en perspective afin de mieux apprécier le risque réel qui pèse sur les marchés.  Les différents gestionnaires de vos placements l’ont bien compris et adaptent les allocations d’actifs en conséquence.  N’hésitez pas à prendre rendez-vous avec Stéphanie Bury, Xavier Jackanic ou moi-même pour plus d’explication.

Analysons maintenant un peu plus en détail ces différents éléments perturbateurs:

 

  1. Les cours du pétrole :

 

Les cours du pétrole sont extrêmement bas tout simplement parce que l’offre est supérieure à la demande.  Cette dernière n’a pas vraiment diminuée, c’est l’offre qui est plus élevée (Etats-Unis, Iran, …).

Maintenant, il faut remettre l’église au milieu du village!  Cette offre excédentaire représente 1,5 million de barils par jour sur une offre globale de 94 millions de barils par jour, soit un maigre 1,6% (volume consommé par le monde en 23 minutes).  On ne peut pas dire que la suroffre soit si importante que cela, et pourtant les prix ont chuté d’environ 75 % depuis l’apparition de ce phénomène au 1er trimestre 2014.

 

La chute est particulièrement douloureuse pour des économies dépendantes du pétrole comme le Vénézuela et le Nigéria mais ses effets se font désormais sentir sur l’économie saoudienne, l’Arabie Saoudite étant le principal responsable de la non réduction de la production.

 

Une prochaine réunion du cartel pourrait donc aboutir sur une réduction des capacités de production ce qui entrainerait une remontée des cours du pétrole.

 

Il est à noter qu’un prix du pétrole bas est favorable pour les économies développées, mais pas trop, car ces niveaux de prix mettent à mal les sociétés liées au pétrole et aux matières premières et, par répercussion, fragilisent les banques européennes qui leur ont prêté de l’argent.  Ce qui nous amène au point 2.

 

  1. L’instabilité des banques inquiète :

 

Le risque de défaut de paiement des crédits accordés par les banques est plus important mais pas insurmontable.  Le niveau de fonds propres des banques est aujourd’hui nettement plus élevé que lors de la crise de 2008.  La rentabilité des banques est cependant sous pression, en cause le niveau des taux durablement proches de 0, une réglementation de plus en plus contraignante et l’arrivée de nouveaux acteurs High Tech qui poussent les banques à se réinventer à coup d’investissements importants.

 

  1. La réserve fédérale américaine entretient le doute quant au rythme des hausses de taux à venir :

 

Les marchés n’aiment pas le manque de visibilité. Or, les banques centrales sont devenues expertes dans l’art de ne pas trop en dire.  Du coup, chacun y va de son propre pronostic.  Il se dégage cependant, de l’avis des analystes, que le maintien aux Etats-Unis d’une politique de hausse de taux à un rythme régulier confirmerait une situation outre-Atlantique dans le vert et favoriserait la remontée des cours de bourse.  Le marché de l’emploi aux Etats-Unis est fort et l’économie n’est pas en surchauffe (pas de forte accélération des salaires).  Le revenu des ménages s’est sensiblement amélioré.  Une récession aux Etats-Unis n’est donc pas le scénario principal à privilégier.

 

  1. La croissance chinoise est en panne:

 

N’en doutez pas, la Chine n’est pas en train de s’arrêter, elle se transforme !  Elle passe d’un modèle de croissance principalement basé sur les exportations à une modèle de croissance soutenu par la consommation intérieure.  Cette transformation nécessite l’émergence d’une classe moyenne et cela ne se fait pas sans mal.

 

Sur le plan commercial, le ralentissement chinois touche d’abord le marché asiatique, le plus directement exposé, ainsi que les pays producteurs de matières premières, dont la Chine est l’un des premiers clients. La Chine a en effet contribué pour près de 72 % à la croissance de l’Asie émergente depuis 2000. L’impact direct pour les sociétés européennes devrait être à priori un peu plus mesuré. Certains analystes estiment que si le taux de croissance de la demande intérieure chinoise devait chuter de 2% sur les deux prochaines années, cela se traduirait par une perte d’environ 0,6% de croissance de PIB pour la zone euro. Les pertes de débouchés pour l’Europe risquent néanmoins d’être beaucoup plus importantes compte- tenu de l’effet induit sur les pays émergents asiatiques et sur ses autres fournisseurs : les exportations vers la Chine représentent 1,5% du PIB total de la zone euro, mais l’Asie, prise dans son ensemble, pèse pour plus de 4%.

 

La situation varie cependant au sein même de l’Union. Parmi les Etats membres, l’Allemagne est la plus concernée. Le pays compte pour plus de 30% du total des échanges commerciaux sino-européens et les exportations allemandes ont chuté de 5,2% en août 2015, sa plus forte baisse depuis la crise financière. La part des exportations allemandes vers la Chine totalise par ailleurs 2,5% du PIB allemand (un niveau comparable à celui du Japon), contre 0,6% dans le reste de la zone euro. Si l’économie allemande en sera donc nécessairement affectée, en particulier le secteur des biens d’équipements et de construction, le pays conserve cependant plusieurs marges de manœuvre et son impact pourrait être modéré par le renforcement de la consommation intérieure sur le marché allemand. Cette dernière est en effet devenue le moteur principal de la croissance économique du pays devant les exportations depuis 2012 (la consommation interne a contribué à 1,4% de la croissance du PIB allemand en 2014, les exportations nettes à 0,4%).

 

  1. Les cours des ressources de base dépriment:

 

Le secteur des actions de sociétés actives dans les matières premières poursuit sa descente aux enfers entamée en 2015. Après avoir perdu 35% de sa capitalisation boursière en 2015, il accuse encore un recul de 15% en 2016.

La chute des prix des matières premières, suite à une demande mondiale en baisse conjuguée à une offre excédentaire, fait que la plupart des entreprises dans ce secteur rencontrent des difficultés à engranger des bénéfices. Et le problème se corse lorsqu’elles sont lourdement endettées. C’est le cas par exemple de Glencore à Londres ou de Nyrstar à Bruxelles, dont les actions ont plongé ces derniers mois. On peut encore citer ArcelorMittal, détenteur d’une dette de 15,7 milliards d’euros. La capitalisation boursière de ce sidérurgiste ne s’élève plus aujourd’hui qu’à 4,7 milliards. Elle était encore de 75 milliards quelques mois après la création du groupe en 2006.

Pour éviter le dépôt de bilan, ces groupes n’ont d’autre choix que de solliciter leurs actionnaires, via des augmentations de capital.

Le problème de l’endettement concerne encore des sociétés relevant d’autres secteurs. Le cimentier LafargeHolcim, l’énergéticien EDF ou encore le chimiste Solvay pour ne citer qu’eux, sont de ce registre. Parce que les investisseurs jugent leur niveau d’endettement trop élevé dans le contexte économique actuel incertain, leurs actions ont aussi sensiblement reculé depuis le début de cette année.

 

Il est à noter que toutes les sociétés ne sont pas aussi endettées et il ne faut donc pas faire une généralité de toutes les actions liées aux matières premières.

 

  1. L’inflation s’obstine à rester basse dans les économies développées:

 

Avec un prix du pétrole et des matières premières au plus bas et une faible croissance, l’inflation n’est pas prête à pointer le bout de son nez en Europe.  En toile de fond, les évolutions technologiques poussent également les prix vers le bas, ce qui ne favorise pas l’atteinte de l’objectif d’une inflation à 2 % par la Banque Centrale Européenne (BCE).  Néanmoins, celle-ci a affirmé qu’elle disposait de moyens suffisants pour atteindre ses objectifs principaux (inflation à 2% et croissance du PIB).  Récemment, Mario Draghi, le président de la BCE, estimait que le risque d’agir trop tard sur une inflation très faible était plus grand que celui d’agir trop tôt, et une attitude attentiste pouvait entraîner une perte de confiance durable, laissant supposer qu’un nouveau coup de pouce monétaire pourrait s’imposer.

 

En conclusion, les dangers sont bien existants mais les réponses qui y sont apportées sont également très présentes.  L’incertitude ambiante et le manque de visibilité poussent les marchés à de plus en plus de volatilité alors que les chiffres macro-économiques sont loin d’être catastrophiques, que du contraire !  Il ne serait pas étonnant d’assister prochainement à un rebond des marchés.

 

Pascal Appeldoorn

Précautions à prendre par temps de neige

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Les précautions à suivre pour la conduite par temps de neige

Pour adapter votre conduite par temps de neige, augmentez les distances de sécurité, anticipez les manœuvres des autres conducteurs, ne freinez ni n’accélérez brutalement. En descente et dans les virages, pensez à utiliser le frein moteur. Si vous circulez pendant des intempéries liées à la neige, allumez vos feux de croisement voire vos feux de brouillard pour être bien visible des autres conducteurs. Si la visibilité ne vous permet plus de circuler, garez-vous sur le bas-côté et allumez vos feux de détresse.

Quelques précautions à prendre sur une route enneigée

L’enneigement de la route provoque des conditions de circulation très différentes comparées aux conditions de circulation par beau temps. Si vous n’avez pas l’habitude de conduire sur route enneigée, sachez qu’il existe des stages de conduite sur neige dispensés par des centres de pilotage. Avant tout voyage en voiture, pensez à vous informer sur l’état des routes et de la neige. Et si au moment de prendre votre véhicule, celui-ci est recouvert de neige, prenez le temps de dégager les pare-brise avant et arrière, les fenêtres latérales ainsi que le toit.

Du nouveau pour des pensions complémentaires

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Sur proposition du ministre des Pensions Daniel Bacquelaine et du ministre des Classes moyennes et des Indépendants Willy Borsus, le Conseil des ministres a approuvé un avant-projet de loi relatif à la pérennité et au caractère social des pensions complémentaires et au renforcement du caractère complémentaire de ces pensions.

L’avant-projet de loi, qui exécute l’accord du Groupe des 10 intervenu le 16 octobre dernier, comporte deux volets. D’une part, il y a les mesures qui visent à garantir la pérennité et le caractère social des pensions complémentaires et d’autre part, il y a les mesures qui visent à renforcer le caractère complémentaire du deuxième pilier de pension (les pensions extralégales) par rapport au premier pilier de pension (les pensions légales).

Les mesures reprises dans le premier volet sont les suivantes :

  • Révision de la garantie de rendement : Les partenaires sociaux se sont mis d’accord sur une révision de la garantie de rendement à charge des organisateurs de pensions complémentaires (employeurs ou secteurs d’activité). Le rendement désormais garanti correspond à un pourcentage de la moyenne, sur les 24 derniers mois, des rendements des obligations linéaires pour l’Etat belge à 10 ans, sans que le résultat ne puisse être inférieur à 1,75% ni supérieur à 3,75%. Sur la base de ces nouvelles règles, le taux applicable pour 2016 s’établit à 1,75%. Ce taux sera désormais le même pour les contributions patronales et pour les contributions personnelles.sera désormais le même pour les contributions patronales et pour les contributions personnelles.
  • Introduction de la possibilité d’une couverture décès lorsque le travailleur quitte l’employeur sans transférer ses réserves de pension complémentaire.
  • Les mesures du second volet sont les suivantes :
  • Lien entre le paiement de la pension complémentaire et la prise de cours de la pension légale : Il est désormais prévu que les prestations de pension complémentaire ne peuvent être payées qu’au moment de la prise de cours effective de la pension légale. Le travailleur pourra cependant obtenir le paiement dès qu’il remplit les conditions pour partir en pension, même s’il poursuit son activité professionnelle. Plusieurs dispositions transitoires sont par ailleurs prévues en faveur notamment de ceux qui ont au moins 55 ans en 2016.
  • Interdiction des clauses de règlements et de conventions de pension qui encouragent les départs anticipés : Seuls les travailleurs ayant moins de 55 ans en 2016 sont concernés par cette interdiction.
  • L’âge de la retraite prévu par les nouveaux règlements ou les nouvelles conventions de pension ne pourra être inférieur à l’âge légal de la pension (65 ans).

Attention aux voleurs

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Comme la météo des derniers jours nous le confirme, l’automne est bien là !

Savez-vous qu’en plus de son lot de feuilles mortes, l’automne profite aussi aux voleurs ?

En effet, la nuit tombe plus tôt et cette obscurité précoce est leur principale alliée.

Plus de 20.000 cambriolages ont été dénombrés par la police en 2014 et ce uniquement dans la région Liégeoise !

 

Afin de vous protéger contre ces désagréments, voici un rappel des bonnes habitudes à prendre :

  • N’exposez pas les appareils technologiques aux regards (GSM, TV, PC, tablette, …),
  • Fermez vos tentures et volets,
  • Mettez vos biens de grandes valeurs en sécurité (coffre à la banque ou à la maison),
  • Photographiez vos objets de valeur et leurs caractéristiques (cela facilitera nos démarches auprès de la compagnie si il y a vol),
  • Fermez systématiquement portes, fenêtres, grilles, barrières, garage, …
  • Ne cachez jamais la clé dans un endroit évident (sous le paillasson, dans un pot de fleur, …),
  • Rangez les échelles, outils, meubles et objets susceptibles de faciliter la tâche aux voleurs,
  • Ne laissez pas de messages sur votre répondeur/Facebook signalant votre absence.

 

Malgré toute votre vigilance, un vol peut néanmoins arriver… dés l’instant où vous constatez les dégâts, il convient de téléphoner à :

  • La police,
  • Notre bureau : 04/338 87 37 24h/24 7j/7 !!

Encore des turbulence en perspective. Osons garder le cap !

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Les prochaines semaines de septembre seront importantes avec de nombreux rendez-vous (réunion de la Fed le 17/09, élection en Grèce le 20/09, publication de l’indice PMI manufacturier chinois le 23/09 et enfin les élections régionales en Catalogne le 27/09). Ces événements provoqueront des épisodes de volatilité d’ici la fin du mois et probablement sur le mois suivant. Tous les boursiers savent que les mois d’octobre en bourse sont parfois synonymes de grandes turbulences : 1929-1978-1979-1987-1997-2008.

La Chine n’est encore que très minoritaire en moyenne dans la constitution des bénéfices par action des entreprises (<5-10).Les mauvaises surprises sur leurs bénéfices devraient donc être limitées car c’est pour l’instant la croissance globale des bénéfices sur la séquence 2015-2016, la robustesse de l’économie américaine et l’action de certaines banques centrales (notamment celle de la BCE) qui soutiennent les marchés actions. Les récentes corrections sur certains titres semblent déjà prendre en compte une partie de la nouvelle donne économique mondiale.

Les mois d’octobre sont certes parfois difficiles mais ils sont aussi souvent de bons points d’entrée pour les plus courageux.

Focus sur la Chine

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Doit-on craindre une chute de l’économie chinoise ?

Nous connaissons actuellement une vague d’orages financiers, dont les derniers aux parfums orientaux sont très violents.  Mais selon toute vraisemblance, cela ne serait pas non plus la saison des ouragans !

Les bourses européennes ont lourdement chuté ce lundi pour se rattraper quelque peu ce mardi.  L’origine de cette baisse est la crainte croissante des investisseurs de voir l’économie chinoise ralentir trop rapidement et ainsi impacter négativement l’économie mondiale.  Cette crainte a été alimentée par une succession d’évènements :

  • La bourse de Shangaï a dégringolé de 30 % entre mi-juin et début juillet;
  • Les autorités chinoises ont dévalué fortement le taux pivot du Yuan à trois reprises début août afin de faciliter leurs exportations;
  • La Fed (réserve fédérale américaine) a annoncé dans ses dernières publications qu’elle était attentive à l’évolution de la croissance chinoise, sous-entendant une crainte sur l’évolution de celle-ci.

Quel impact sur nos économies ?

Si la Chine ralentissait à 3,5 % (contre +/- 7 % actuellement), les importations chuteraient de 17,5% et cela ferait perdre 0,4 % de PIB aux Etats-Unis et en moyenne 0,6% à la zone Euro.

Un tel ralentissement entrainerait également une chute des cours des matières premières et des produits pétroliers (la Chine est le premier consommateur de minerais avec 40 % de la consommation mondiale et le deuxième en matière de pétrole, 10 % de la consommation mondiale).  Pour nos économies développées, ces diminutions seraient néfastes pour certains cours de bourse, à court terme, mais seraient bénéfiques à long terme car elles augmenteraient de manière indirecte le pouvoir d’achat des consommateurs.

Ce qu’il faut en penser !

Les fondamentaux des entreprises européennes et américaines restent globalement bons, les diminutions récentes des cours de bourse pourraient même inciter certains acteurs à revenir sur le marché des actions pour profiter des valorisations attrayantes.  Mais la prudence reste cependant de mise car certains orages violents peuvent encore rapidement éclater.

Nous restons à votre disposition pour discuter de l’impact de ces évènements sur vos placements et des meilleures stratégies à adopter en fonction de votre profil d’investisseur.

Pascal Appeldoorn

 

(rédaction achevée le 25 août 2015)

Ils ont dit :

« Nous restons optimistes pour la croissance des économies développées » Goldman Sachs – Lecho du 25 aout 2015

« Appel confiant sur la croissance en Chine malgré la chute des marchés » Justin Sullivan – AFP