EPARGNE PENSION : « S’assurer une agréable retraite en profitant d’un bel avantage fiscal annuel … »

Tendances

La problématique des pensions est connue par la majorité d’entre nous ; à savoir, que la population des travailleurs est actuellement inférieure à celle des pensionnés. Dès lors, les budgets qui seront octroyés à nos propres pensions dans quelques années ne feront que diminuer. Se constituer soi-même une épargne pension fiscalement déductible est donc fondamental pour recevoir un joli capital complémentaire à 65 ans.

L’épargne pension présente en effet un double avantage : bénéficier chaque année d’une réduction fiscale d’environ 300 euros au moment de remplir votre déclaration couplé au fait de profiter pleinement de sa pension.

Plus tôt vous commencez votre épargne, plus longtemps vos primes capitaliseront et par conséquent prendront de la valeur pour vos 65 ans. Il s’agit de la première épargne que nous conseillons aux jeunes travailleurs. Si vous n’y avez pas encore pensé, vous avez jusqu’à vos 54 ans pour la démarrer.

L’épargne pension est actuellement sous le feu des projecteurs suite aux modifications qui vont lui être apportées dès le 1er janvier 2018. En effet, dès janvier, les particuliers pourront soit choisir de verser les 960 euros habituels pour bénéficier d’un avantage fiscal de 282 euros (30%), soit de verser un montant compris entre 1128 euros et 1200 euros pour bénéficier alors d’un avantage fiscal compris entre 282 euros et 300 euros (25% du montant versé).

Comme énoncé dans la presse, il n’y a pas d’intérêt à verser un montant compris entre 940.01 euros et 1127.99 euros au risque d’avoir un avantage fiscal inférieur à 282 euros. Soyez donc attentif si vous décidez de modifier vos versements !

En résumé, vous pouvez encore mettre en place votre épargne pension avant fin décembre. Pour rappel, en 2017, le montant maximum est de 960 euros.
Nous vous conseillons donc vivement de la constituer rapidement si ce n’est déjà fait.

Et … à vous la retraite relax le jour J !

C’est la rentrée ! C’est le moment d’investir durablement !

Tendances

Les investisseurs et les organismes de contrôle exercent une pression constante sur la bonne gouvernance des entreprises. Investir est donc de plus en plus favorable.

Economiser sur son compte épargne ne rapporte plus, ce n’est un secret pour personne.. Avez-vous pensé à faire le point sur votre patrimoine et votre capacité d’épargne afin d’opter pour les meilleures solutions de placements ? La rentrée de septembre est le moment idéal pour organiser ses avoirs bancaires.

Nous avons chez AXA une offre diversifiée et intéressante de solutions qui rapportent bien plus que le compte épargne. Nous commençons par déterminer votre profil d’investisseur en fonction de vos besoins et de vos connaissances pour ensuite déterminer ensemble ce qui vous convient le mieux .

Vous avez le choix entre un versement unique et/ou des versements mensuels qui vous permettent dès lors de constituer un capital progressivement tout en investissant à votre rythme dans un ou plusieurs fonds proposés par AXA Banque.

Et pourquoi ne pas réserver aussi un bel avenir à vos enfants ou même à vos petits-enfants grâce à ce plan d’investissement ? Nous avons des solutions pour tous les budgets ; vous pouvez déjà vous lancer à partir de 25 eur/mois !

N’hésitez pas à prendre rendez-vous avec l’un de nos experts placements qui se fera un plaisir de vous conseiller..

Prévention vol et incendie

Habitation

Les mois d’été sont là et peut-être avez-vous l’intention de changer d’air pendant quelques jours ou quelques semaines ?

Quand on est en vacances, il est important de ne pas laisser le champ libre aux voleurs, ni chez soi, ni sur son lieu de villégiature.

La prévention contre le vol, c’est d’abord une question de bonnes habitudes, tout au long de l’année. Vous trouverez en annexe une compilation des mesures de prévention fort utile contre le vol et également pour éviter tout débit d’incendie.

 

1. Eviter un cambriolage

• Pensez à faire un dépôt de courrier. Ou demandez à un ami ou parent de ramasser la pile de catalogues qui peut s’accumuler sur le seuil de votre porte.
• Ne publiez pas d’informations sur les réseaux sociaux qui pourraient indiquer que votre maison est inoccupée.
• Laissez les rideaux et volets ouverts pour donner l’impression que la maison est occupée. Pensez aussi aux minuteries d’éclairage automatique.
• Verrouillez bien toutes vos portes, fenêtres, grilles et portails lorsque vous quittez la maison. Si nécessaire, remplacez vos serrures avant de partir.
• Faites en sorte qu’aucun objet de valeur ne soit visible. Rangez la tablette sur la table du salon située près d’une fenêtre, l’emballage en carton de votre nouveau PC devant la porte lors de l’enlèvement des cartons, …
• Informez votre fournisseur d’alarme que vous vous déplacez.
• Prenez des photos de vos biens pour vous constituer un dossier et scannez les factures associées. Cela pourra vous aider à prouver l’achat des biens que vous possédez si quelque chose devait arriver. Et stockez ce dossier en lieu sûr !
• Découragez les cambrioleurs. Il est statistiquement prouvé qu’ils abandonnent après 3 minutes. Faites appel à un conseiller en prévention. Il se rendra chez vous gratuitement pour vous donner des conseils. Vous en trouverez un près de chez vous sur www.besafe.be/fr/conseiller-en-prévention-incendie.

 

2. Eviter un incendie

• Rangez vos aérosols et même vos miroirs à l’abri des rayons du soleil !
• Votre détecteur de fumée fonctionne-t-il bien ? Remplacez éventuellement les piles avant de partir.
• Pendant votre absence, pensez à débrancher un maximum d’appareils électriques.
• Mettez le thermostat de votre chaudière sur le minimum, coupez l’alimentation de votre cuisinière à gaz et fermez les vannes des bonbonnes de gaz !
• Enfin, coupez l’arrivée d’eau générale.
• Après toutes ces précautions, partez sans souci, votre habitation est prête !

 

Nous vous souhaitons d’agréables moments pour ces mois à venir et restons à votre disposition pour toute information complémentaire.

Focus sur la PVELO : pédalez en toute sécurité

Assurance

Assurer son deux roues, même électrique, c’est possible et même vivement conseillé. Vous pourrez ainsi profiter des beaux jours en toute tranquillité..

Cette assurance peut couvrir tous les types de vélos et convient tant aux amateurs qu’aux compétiteurs. Différentes garanties sont possibles donc la RC, l’Omnium, l’assistance,..

Contactez-nous pour plus de renseignements sur les assurances vélo.

Vous prenez soin de votre animal domestique, nous de l’assurance pour votre fidèle compagnon

Assurance

« Il y a deux ans, et suite à  la grande insistance de nos 3 enfants  nous avons fini par céder et acheter un berger australien. Un amour que nous avons appelé Zyggy. Notre Zyggy et les enfants s’entendent à merveille.

Avec l’arrivée de notre petite princesse, je me suis fait bien du souci, car imaginez qu’il arrive quelque chose à Zyggy et que nous ne puissions pas la faire soigner comme il se doit …

Un jour, j’ai fait part de mes inquiétudes à ma voisine qui m’a dit : « Mais il existe quand même une assurance pour les chiens et les chats ! »

Et cette assurance nous a bien soulagés car Zyggy ne tient pas en place et s’est déjà blessé de temps à autre à une patte. Nous en avons eu pour 520,45 euros de frais de vétérinaire l’année dernière dont nous n’avons finalement payé que 52 euros de notre poche grâce à notre assurance. »

Nouveaux indices médicaux depuis le 1er juillet

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A partir du 1er juillet 2016, les primes d’assurances maladie et hospitalisation pourront augmenter au regard des nouveaux indices médicaux. Ces indices seront calculés par le SPF Economie sur la base de l’augmentation des coûts des soins de santé. « Avec cet indice médical, le montant de votre prime d’assurance, mais aussi de la franchise et des prestations médicales couvertes, pourra augmenter. Le but de l’indice est de permettre que cette augmentation soit plus linéaire et moins brutale », d’après Chantal De Pauw, porte-parole du SPF Economie.

Calcul sur la base des coûts des soins de santé

Vous disposez d’une assurance maladie ou hospitalisation ? Le montant de votre prime, mais aussi de la franchise et/ou des prestations couvertes risque d’augmenter à sa prochaine échéance. Cette augmentation éventuelle résulte de la publication au Moniteur belge, ce 1er juillet 2016, des nouveaux indices médicaux. Ceux-ci sont calculés de manière à tenir compte de l’augmentation du coût des soins de santé : les entreprises d’assurances sont tenues de communiquer à la FSMA, ou à l’Office de contrôle des mutualités, et au SPF Economie, la charge brute des sinistres par garantie, c’est-à-dire le montant de la facture, déduction faite de l’intervention de l’INAMI. Le calcul et la publication des indices se fait une fois par an, en juillet.

Il existe 4 indices liés aux différents types de contrats d’assurance maladie, assortis de garanties différentes : la garantie « chambre particulière », la garantie « chambre double et commune », la garantie « soins ambulatoires » et la garantie « soins dentaires ». Les indices sont ventilés en fonction des catégories d’âges.

classe d’âge garantie
chambre particulière chambre double et commune soins ambulatoires soins dentaires
0-19 ans 102,23 100,15 100,00 100,00
20-34 ans 100,34 100,00 100,00 100,00
35-49 ans 106,08 100,00 100,00 100,00
50-64 ans 106,33 102,79 100,00 100,00
65 ans et plus 106,45 103,83 100,00 100,00
global* 104,32 100,37 100,00 100,00

*indice basé sur la valeur indépendante des classes d’âge

Une indexation pas systématique

Toutefois, une augmentation n’est pas systématique. En effet, elle ne concerne que les contrats d’assurance maladie non liés à l’activité professionnelle, autrement dit les contrats que vous avez personnellement souscrits pour vous et/ou les membres de votre famille (notez que les contrats d’assurance maladie dont vous bénéficiez par l’intermédiaire de votre employeur ne sont pas touchés par cette mesure).

Parmi ces contrats, seuls sont visés les contrats comportant une clause d’indexation. Si c’est le cas, à la prochaine échéance de votre contrat d’assurance, il est possible que l’assureur augmente la prime et/ou la franchise et/ou les prestations couvertes de celui-ci.

Pour ce faire, l’assureur doit avertir son client de sa méthode d’indexation et de ses modalités, en le mentionnant sur votre avis d’échéance.

Attention : le recours aux indices médicaux ne sera appliqué que dans l’hypothèse où ces indices sont supérieurs à l’évolution de l’indice des prix à la consommation.

Tous les produits AXA ici

En voiture, sur la route des vacances…

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Préparez votre véhicule

  • Vérifiez les freins, la direction, la batterie, les essuie-glaces, …
  • Contrôlez les pneus (et la roue de secours) : état, usure, pression (une bonne pression des pneus est synonyme de sécurité). Un sous-gonflage de 0,5 bar représente une surconsommation de 2,4 % !
  • Vérifiez et nettoyez les phares et les feux.
  • Vérifiez et complétez, si nécessaire, les niveaux d’huile, de liquide de frein et de refroidissement, du lave-glace, …
  • Assurez-vous de la présence du matériel nécessaire au changement de la roue, de la trousse de secours, du triangle de signalisation, de l’extincteur, du gilet réfléchissant.
  • Prévoyez des lunettes de soleil, une lampe de poche, des boissons rafraîchissantes
    (de préférence de l’eau et bien entendu pas d’alcool), des occupations pour les enfants (livres, CD, jeux, …).
  • soyez attentif au chargement
  • Rangez de préférence vos bagages dans le coffre en veillant à répartir la charge et à placer les plus lourds dans le fond.
  • Ne disposez pas d’objets sur la plage arrière: ils réduisent la visibilité et deviennent un projectile en cas de choc.
  • Si vous utilisez un porte-bagages, un coffre de toit, un porte-vélos ou tractez une remorque, respectez les indications du constructeur et les règles en vigueur en matière de chargement (dépassement de la longueur du véhicule, signalisation, …).
  • Dans la mesure du possible, chargez votre véhicule la veille du départ.
  • Ne chargez pas trop votre véhicule : 100 kg de plus, c’est 5% de consommation en plus; préférez un coffre de toit au porte-bagages et n’oubliez pas de l’enlever après utilisation : même à vide, il occasionne une surconsommation de 10 à 20%.

Bonne route

La médecine belge est l’une des meilleurs du monde ! Nous la rendons accessible

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Bien que l’assurance maladie obligatoire (mutualité) paie une grande partie des soins de santé, elle ne couvre pas tous les frais importants.

Un certain nombre de  techniques de traitement agréées, d’outils médicaux, d’implants ou de médicaments ne donnent par exemple pas lieu à un remboursement de  la sécurité sociale.

La qualité des soins de santé en Belgique est bonne, mais elle a également un prix. Le coût des soins de santé ne cesse d’augmenter. Nous vivons également de plus en plus longtemps. Il en résulte que le montant total des dépenses en soins de santé va sans doute augmenter au cours des prochaines décennies.

Nous avons la solution d’assurance hospitalisation sur mesure qui répondra parfaitement à vos attentes, au meilleur prix !!!

Interrogez-nous !

Commentaire de marché

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Les bourses ont chuté, certaines de 30 % depuis leur plus haut niveau de début 2015.

 

Faut-il pour autant céder à la panique? Est-on à la veille de la fin d’une civilisation comme le prédisent certains gourous?  Certainement pas, gardons la tête froide et analysons plus en profondeur ce qu’il s’est passé.

 

Il faut bien avouer qu’il faut avoir le cœur bien accroché car les facteurs négatifs ne manquent pas :

 

  1. Les cours du pétrole se maintiennent sous les 30 dollars le baril;
  2. L’instabilité des banques inquiète;
  3. La réserve fédérale américaine entretient le doute quant au rythme des hausses de taux à venir;
  4. La croissance chinoise est en panne;
  5. Les cours des ressources de base dépriment;
  6. Et l’inflation s’obstine à rester basse dans les économies développées.

 

 

Pas étonnant qu’avec un tel cocktail, les marchés soient extrêmement volatils.  Dernièrement, l’Euro Stoxx 50 évoluait de -3% un jour à + 2% le lendemain pour terminer à   -3,5% le surlendemain.

Néanmoins, tous ces facteurs doivent être remis en perspective afin de mieux apprécier le risque réel qui pèse sur les marchés.  Les différents gestionnaires de vos placements l’ont bien compris et adaptent les allocations d’actifs en conséquence.  N’hésitez pas à prendre rendez-vous avec Stéphanie Bury, Xavier Jackanic ou moi-même pour plus d’explication.

Analysons maintenant un peu plus en détail ces différents éléments perturbateurs:

 

  1. Les cours du pétrole :

 

Les cours du pétrole sont extrêmement bas tout simplement parce que l’offre est supérieure à la demande.  Cette dernière n’a pas vraiment diminuée, c’est l’offre qui est plus élevée (Etats-Unis, Iran, …).

Maintenant, il faut remettre l’église au milieu du village!  Cette offre excédentaire représente 1,5 million de barils par jour sur une offre globale de 94 millions de barils par jour, soit un maigre 1,6% (volume consommé par le monde en 23 minutes).  On ne peut pas dire que la suroffre soit si importante que cela, et pourtant les prix ont chuté d’environ 75 % depuis l’apparition de ce phénomène au 1er trimestre 2014.

 

La chute est particulièrement douloureuse pour des économies dépendantes du pétrole comme le Vénézuela et le Nigéria mais ses effets se font désormais sentir sur l’économie saoudienne, l’Arabie Saoudite étant le principal responsable de la non réduction de la production.

 

Une prochaine réunion du cartel pourrait donc aboutir sur une réduction des capacités de production ce qui entrainerait une remontée des cours du pétrole.

 

Il est à noter qu’un prix du pétrole bas est favorable pour les économies développées, mais pas trop, car ces niveaux de prix mettent à mal les sociétés liées au pétrole et aux matières premières et, par répercussion, fragilisent les banques européennes qui leur ont prêté de l’argent.  Ce qui nous amène au point 2.

 

  1. L’instabilité des banques inquiète :

 

Le risque de défaut de paiement des crédits accordés par les banques est plus important mais pas insurmontable.  Le niveau de fonds propres des banques est aujourd’hui nettement plus élevé que lors de la crise de 2008.  La rentabilité des banques est cependant sous pression, en cause le niveau des taux durablement proches de 0, une réglementation de plus en plus contraignante et l’arrivée de nouveaux acteurs High Tech qui poussent les banques à se réinventer à coup d’investissements importants.

 

  1. La réserve fédérale américaine entretient le doute quant au rythme des hausses de taux à venir :

 

Les marchés n’aiment pas le manque de visibilité. Or, les banques centrales sont devenues expertes dans l’art de ne pas trop en dire.  Du coup, chacun y va de son propre pronostic.  Il se dégage cependant, de l’avis des analystes, que le maintien aux Etats-Unis d’une politique de hausse de taux à un rythme régulier confirmerait une situation outre-Atlantique dans le vert et favoriserait la remontée des cours de bourse.  Le marché de l’emploi aux Etats-Unis est fort et l’économie n’est pas en surchauffe (pas de forte accélération des salaires).  Le revenu des ménages s’est sensiblement amélioré.  Une récession aux Etats-Unis n’est donc pas le scénario principal à privilégier.

 

  1. La croissance chinoise est en panne:

 

N’en doutez pas, la Chine n’est pas en train de s’arrêter, elle se transforme !  Elle passe d’un modèle de croissance principalement basé sur les exportations à une modèle de croissance soutenu par la consommation intérieure.  Cette transformation nécessite l’émergence d’une classe moyenne et cela ne se fait pas sans mal.

 

Sur le plan commercial, le ralentissement chinois touche d’abord le marché asiatique, le plus directement exposé, ainsi que les pays producteurs de matières premières, dont la Chine est l’un des premiers clients. La Chine a en effet contribué pour près de 72 % à la croissance de l’Asie émergente depuis 2000. L’impact direct pour les sociétés européennes devrait être à priori un peu plus mesuré. Certains analystes estiment que si le taux de croissance de la demande intérieure chinoise devait chuter de 2% sur les deux prochaines années, cela se traduirait par une perte d’environ 0,6% de croissance de PIB pour la zone euro. Les pertes de débouchés pour l’Europe risquent néanmoins d’être beaucoup plus importantes compte- tenu de l’effet induit sur les pays émergents asiatiques et sur ses autres fournisseurs : les exportations vers la Chine représentent 1,5% du PIB total de la zone euro, mais l’Asie, prise dans son ensemble, pèse pour plus de 4%.

 

La situation varie cependant au sein même de l’Union. Parmi les Etats membres, l’Allemagne est la plus concernée. Le pays compte pour plus de 30% du total des échanges commerciaux sino-européens et les exportations allemandes ont chuté de 5,2% en août 2015, sa plus forte baisse depuis la crise financière. La part des exportations allemandes vers la Chine totalise par ailleurs 2,5% du PIB allemand (un niveau comparable à celui du Japon), contre 0,6% dans le reste de la zone euro. Si l’économie allemande en sera donc nécessairement affectée, en particulier le secteur des biens d’équipements et de construction, le pays conserve cependant plusieurs marges de manœuvre et son impact pourrait être modéré par le renforcement de la consommation intérieure sur le marché allemand. Cette dernière est en effet devenue le moteur principal de la croissance économique du pays devant les exportations depuis 2012 (la consommation interne a contribué à 1,4% de la croissance du PIB allemand en 2014, les exportations nettes à 0,4%).

 

  1. Les cours des ressources de base dépriment:

 

Le secteur des actions de sociétés actives dans les matières premières poursuit sa descente aux enfers entamée en 2015. Après avoir perdu 35% de sa capitalisation boursière en 2015, il accuse encore un recul de 15% en 2016.

La chute des prix des matières premières, suite à une demande mondiale en baisse conjuguée à une offre excédentaire, fait que la plupart des entreprises dans ce secteur rencontrent des difficultés à engranger des bénéfices. Et le problème se corse lorsqu’elles sont lourdement endettées. C’est le cas par exemple de Glencore à Londres ou de Nyrstar à Bruxelles, dont les actions ont plongé ces derniers mois. On peut encore citer ArcelorMittal, détenteur d’une dette de 15,7 milliards d’euros. La capitalisation boursière de ce sidérurgiste ne s’élève plus aujourd’hui qu’à 4,7 milliards. Elle était encore de 75 milliards quelques mois après la création du groupe en 2006.

Pour éviter le dépôt de bilan, ces groupes n’ont d’autre choix que de solliciter leurs actionnaires, via des augmentations de capital.

Le problème de l’endettement concerne encore des sociétés relevant d’autres secteurs. Le cimentier LafargeHolcim, l’énergéticien EDF ou encore le chimiste Solvay pour ne citer qu’eux, sont de ce registre. Parce que les investisseurs jugent leur niveau d’endettement trop élevé dans le contexte économique actuel incertain, leurs actions ont aussi sensiblement reculé depuis le début de cette année.

 

Il est à noter que toutes les sociétés ne sont pas aussi endettées et il ne faut donc pas faire une généralité de toutes les actions liées aux matières premières.

 

  1. L’inflation s’obstine à rester basse dans les économies développées:

 

Avec un prix du pétrole et des matières premières au plus bas et une faible croissance, l’inflation n’est pas prête à pointer le bout de son nez en Europe.  En toile de fond, les évolutions technologiques poussent également les prix vers le bas, ce qui ne favorise pas l’atteinte de l’objectif d’une inflation à 2 % par la Banque Centrale Européenne (BCE).  Néanmoins, celle-ci a affirmé qu’elle disposait de moyens suffisants pour atteindre ses objectifs principaux (inflation à 2% et croissance du PIB).  Récemment, Mario Draghi, le président de la BCE, estimait que le risque d’agir trop tard sur une inflation très faible était plus grand que celui d’agir trop tôt, et une attitude attentiste pouvait entraîner une perte de confiance durable, laissant supposer qu’un nouveau coup de pouce monétaire pourrait s’imposer.

 

En conclusion, les dangers sont bien existants mais les réponses qui y sont apportées sont également très présentes.  L’incertitude ambiante et le manque de visibilité poussent les marchés à de plus en plus de volatilité alors que les chiffres macro-économiques sont loin d’être catastrophiques, que du contraire !  Il ne serait pas étonnant d’assister prochainement à un rebond des marchés.

 

Pascal Appeldoorn

Précautions à prendre par temps de neige

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Les précautions à suivre pour la conduite par temps de neige

Pour adapter votre conduite par temps de neige, augmentez les distances de sécurité, anticipez les manœuvres des autres conducteurs, ne freinez ni n’accélérez brutalement. En descente et dans les virages, pensez à utiliser le frein moteur. Si vous circulez pendant des intempéries liées à la neige, allumez vos feux de croisement voire vos feux de brouillard pour être bien visible des autres conducteurs. Si la visibilité ne vous permet plus de circuler, garez-vous sur le bas-côté et allumez vos feux de détresse.

Quelques précautions à prendre sur une route enneigée

L’enneigement de la route provoque des conditions de circulation très différentes comparées aux conditions de circulation par beau temps. Si vous n’avez pas l’habitude de conduire sur route enneigée, sachez qu’il existe des stages de conduite sur neige dispensés par des centres de pilotage. Avant tout voyage en voiture, pensez à vous informer sur l’état des routes et de la neige. Et si au moment de prendre votre véhicule, celui-ci est recouvert de neige, prenez le temps de dégager les pare-brise avant et arrière, les fenêtres latérales ainsi que le toit.